Mondialisation.ca. 8 octobre 2009 par Mike Adams
L'une des principales chercheuses mêlées aux essais cliniques du Gardasil et du Cevarix, les vaccins contre le cancer du col de l'utérus, a dénoncé publiquement leur innocuité et efficacité. Cette mise en garde, très inhabituelle contre ces vaccins de la part de l'une des propres chercheuses de Big Pharma, a fait surface ces derniers jours, lors d’un entretien exclusif avec le Sunday Express au Royaume-Uni. À ce moment-là, le Dr Diane Harper a admis publiquement que le vaccin ne prévient même pas le cancer du col de l'utérus. Elle a déclaré : « Il ne diminue pas du tout le pourcentage de cancer du col de l'utérus. »
Ces nouvelles sont étonnantes. Tout ce qui pousse en faveur du vaccin contre le cancer du col utérin repose sur la conviction qu'il prévient le cancer du col de l'utérus. Il se trouve que cette croyance est un mythe.
Le Dr Harper a aussi prévenu que ces vaccins sont en train d’être surexploités, et que les parents devraient être informés du risque des possibles effets secondaires graves dus à la vaccination. Elle a même conclu que le vaccin est lui-même plus dangereux que le cancer du col de l’utérus qu’il est sensé prévenir !
Hystérie à propos des verrues génitales ?
Dans un article publié l'an dernier dans le New York Times, le Dr Stephen Harpe parlait de la commercialisation du Gardasil de la compagnie Merck échafaudée sur la peur :
Merck fait pression sur chaque meneur de l'opinion, groupement féminin, société médicale, politicien, et s’adresse directement à la population. Elle a créé un sentiment de panique vous disant que vous devez vous faire vacciner tout de suite...
Ce comportement des compagnies pharmaceutiques, recourant à des tactiques de panique pour promouvoir une maladie particulière en vue de vendre le « traitement, » s’appelle faire de la psychose de maladie (disease mongering). La plupart des spécialités pharmaceutiques générant des profits aujourd'hui reposent précisément sur cette tactique : Répandre la peur puis vendre le « traitement. »
Pourquoi la psychose de la maladie est-elle si importante pour les profits des compagnies pharmaceutiques ? Elles ont compris il y a plusieurs années que les médicaments vendus seulement aux gens malades sont une opportunité de revenu très limitée. Pour engranger de véritables bénéfices, elles ont besoin de trouver un moyen pour vendre des médicaments à des gens en bonne santé (c’est-à-dire à ceux qui n'en ont pas besoin). C'est ce que sont en réalité les vaccins contre le cancer du col utérin : Une magouille visant à vendre des vaccins à des gens ne souffrant absolument d'aucune maladie.
Que l'une des propres chercheuses de l'industrie soit prête à s'élever contre elle n'est pas que très inhabituel, c'est aussi très courageux. C'est à se demander qui est exactement le Dr Harper ?
Dr Diane Harper
La Doctoresse Diane Harper est diplômée du Massachusetts Institute of Technology. Elle a suivi des cours supplémentaires à Stanford et a reçu son diplôme en médecine à l'Université du Kansas. Elle était l’une des principales chercheuses sur les vaccins Gardasil et Cervarix, et c’est l'une des personnes les plus expérimentées au monde sur les maladies liées au papillomavirus humain. Elle a travaillé à la fois pour Merck et pour GlaxoSmithKline.
Les avertissements du Dr Harper contre ces vaccins sont particulièrement pertinents compte tenu de ses connaissances dans l'analyse coût/bénéfice des vaccins. Sa conclusion est que les vaccins contre le cancer du col utérin ne valent pas les risques, et ne méritent pas non plus tout le battage publicitaire pour le public. « Il se pourrait que ce ne soit pas le meilleur usage de nos ressources en ce moment, a-t-elle déclaré dans un article du Washington Post.
Dans ces condition, pourquoi les médecins et les autorités de santé continuent-ils de préconiser ces vaccins aux États-Unis, en France et dans d'autres grandes nations ? Parce que Big Pharma est la grande corporation marionnettiste qui tire les ficelles des législateurs. Pour remporter la décision, avec suffisamment d'argent et de lobbyistes, vous pouvez toujours surmonter la pensée scientifique grâce au marketing à base de peur et de dessous-de-table. La médecine scientifique n'a pas sa place dans un monde où la maladie est une mine d’or.
Il y a une quantité d'argent insensée à gagner en préconisant un vaccin à de gens qui n'en ont pas besoin. Si j'avais dix dollars par adolescente vaccinée contre le cancer du col de l'utérus, je serais... euh... GlaxoSmithKline.
Traduction : Pétrus Lombard Articles de Mike Adams publiés par Mondialisation.ca
Original : www.naturalnews.com/027196_cancer_cervical_cancer_cancer_vaccine.html
Aucun commentaire