OGM, solution (finale) à la surpopulation

Agoravox. Lundi 20 juillet par Vladivostok

« Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlez la population. » Henry Kissinger (1970)

Depuis qu’Henry Kissinger énonçait il y a 40 ans cette implacable lapalissade et programme géopolitique bien connue, les USA se sont agités de part le monde pour mettre en place un contrôle stratégique sur les régions productrices d’or noir...

Comme le rappelait George Bush Jr plus récemment à propos des US « Nous sommes accrocs au pétrole ». Cette idée s’impose dans les faits à l’ensemble des nations, inutile de revenir là dessus.

Côté nourriture, la problématique devient plus sensible pour deux raisons qui ont encore très peu sautées aux yeux de cette minorité occidentale que nous sommes.

  • C’est tout d’abord une question de santé et de survie pour chacun de nous. En cas de pic pétrolier, l’individu lambda, aura de gros problèmes et se mettra vraisemblablement très en colère...

    Que la chaîne d’approvisionnement agroalimentaire se dérègle, et beaucoup tomberont malade. Que cette chaîne s’interrompe, et beaucoup mourront.

  • La qualité de la nourriture conditionne aussi la santé de la population. Cette question est souvent considérée comme secondaire, dans la mesure ou pour beaucoup, la quantité prime sur la qualité. Pas forcement une question liée au degré de pauvreté et de creux dans l’estomac... mais les plus pauvres de ce monde ont tendances à devenir soit squelettiques, soit obèses.

I/ Du champs à l’assiette. Quelle agriculture ?

La chimie, la santé et l’agroalimentaire sont les marchés les plus puissants et les plus omnipotent au monde. Le fantasme de Robert Shapiro, ancien PDG de Monsanto, de voir les industries de la santé, de l’agriculture et de l’agro-alimentaire se fondre en un seul corps tentaculaire est dans les faits pratiquement abouti, et réalisé par les principaux groupes de ce secteur.

Monsanto s’est dans ce but allié au laboratoire américano-suédois Pharmacia & Upjohn (P&U) en 1999, donnant le groupe Pharmacia Corp. qui fut racheté en 2002 par Pfizer, leader pharmaceutique mondial. Monsanto a officiellement été libéré de Pfizer, néanmoins Pfizer en a conservé certain sites de Recherche & développement.

En France Sanofi-Synthélabo, l’entreprise pharmaceutique est devenue en 2004 Sanofi-Aventis suite à l’acquisition par le groupe français du groupe franco-allemand Aventis dont l’activité dans le domaine de la semence est regroupé sous le nom Aventis CropScience .

Les exemples de ce type de fusion sont légions ces 10 dernières années, et concernent tous les grands noms d’une industrie désormais véritablement « chimico/pharma/semencière ».

La frontière entre secteur privé et secteur public devient elle aussi de plus en plus ténue.

Le « Codex Alimentarius », objet de pas mal de fantasmes, organe international financé par l’OMS et l’OMC, et dont il faut retenir le nom, mérite un article à lui tout seul sur ce thème (Voir Annexe A#), donc je passerai directement à notre situation franco-française

L’Afssa (Agence française de sécurité sanitaire des aliments), établissement public français dont la mission principale est d’évaluer les risques sanitaires pour les aliments et l’eau, a près de 65 % de ses experts entretenant des liens directs et souvent contractuels avec les industries chimiques et agro-alimentaires.

A voir à ce propos le documentaire extrait de l’émission de 90 minutes de Canal+ sur les petits arrangements entre l’Afssa et Monsanto. A télécharger ICI (Vidéo de 17 minutes)

Aux Usa, toujours en avance sur nous, les salariés de la FAO (Food and Agriculture Organization, soit en francais, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) et de Monsanto sont mutés et transférés d’une structure à l’autre le plus naturellement du monde de la corporation à l’agence gouvernementale et inversement.

Public et privé sont là-bas des notions bien plus désuètes que chez nous.

A la base de cette pyramide, le consommateur. Quel est la connaissance, voire l’influence du citoyen lambda sur la chaine alimentaire ?

Les agriculteurs représentent 1% de la population en France et 2% de la population mondiale. Le reste de la population, et plus que jamais celle des grandes agglomérations, en est dépendante et en est globalement réduite à la position perpétuelle de l’oisillon qui tend le cou sans trop savoir d’où vient ce qui lui tombe dans le bec et à quel prix (J’entends ici, quelles externalités.)

Maintenant, quelques constats :

L’agriculture pompe aujourd’hui 70% des ressources mondiales en eau et est responsable de 30% des émissions de gaz carbonique générées par l’humanité (ce chiffre exclut les fameux pets de ruminants, qui eux, expulsent du méthane)

L’agriculture intensive aujourd’hui est majoritairement responsable du déboisement des forêt primaires équatoriales et du phénomène de désertification.

« Selon une étude de l’ONU, les déserts (chauds et froids) couvraient 44% de la surface terrestre en 1977 contre 63% en l’an 2000. » (Source Wiki)

Quels sont les agricultures alternatives et quelles seraient les conséquences de leur application ?

Ecoagriculture, agroforesterie, permaculture sont des domaines de réflexions sur une agriculture différente, qui offrent déjà un univers de solutions étudiées, éprouvées et efficaces.

Pour donner un exemple emblématique, le semis direct ou agriculture sans labour, qui commence à être adopté par un nombre croissant d’agriculteur en Amérique du sud.

Le labour ne sert à l’origine qu’à éliminer les mauvaise herbes.

Les 4 conséquence principales d’un labour sont néanmoins désastreuses, et sont les suivantes :

  • Destruction de la structure du sol, car la remontée vers la surface de champignons et fongus qui logiquement nourrissent la plante et conservent l’eau sous terre, tue ces éléments indispensables.

  • Libération de 1 tonne de gaz carbonique par hectare, gaz logiquement capturé par les plantes et stocké dans le sol. (Étude ICI

  • Consommation de 140 litres de fuel par hectare par l’engin agricole. (+ gaz d’échappement)

  • Érosion du sol qui peut s’élever jusqu’à 25 tonnes par an et par hectare cultivé, ce qui correspond à environ 25 mm d’épaisseur de sol. La pluie et le vent emportent en effet la terre laissée à nu.

Conséquences à l’echelle mondiale

L’agriculture intensive avec labour telle que pratiquée partout dans le monde est donc responsable de 30% des émissions de gaz carbonique, a éliminé 90% de la de faune fongique du sol en Europe. La majorité du blé européen n’est à ce titre plus « panifiable », et beaucoup de notre pain quotidien est dû à la sueur des fronts brésiliens et argentins qui nous exportent leur blé.

Les insectes prédateurs naturels des cultures, n’attaquent et dévorent que les plantes malades. Les tonnes d’insecticide épandu sur les champs ne servent donc qu’à protéger des champs de fruits, légumes ou céréales malades de pousser dans des sols détruits par le labour et les engrais chimiques.

Voir le constat édifiant d’un micro-biologiste des sols ICI

Selon une étude de la commission européenne, la perte de sol se monte à 25 milliards de tonnes par an dans le monde. Le labour qui, comme je l’ai expliqué plus haut n’avait à l’origine pour but qu’un désherbage, est en fait aujourd’hui conservé pour aérer la terre morte, dure comme du béton et tassée sur plusieurs centimètres, ou rien ne peut plus pénétrer, ni les graines, ni la pluie.

(Marchez sur un sol en sous bois, puis sur un sol au milieu d’un champs, vous verrez tout de suite de quoi je veux parler...)

Conséquences potentielles d’une adoption de l’agriculture sans labour à l’échelle internationale

L’agriculture sans labour réduirait les émissions de carbones au rare passage des engins agricole sur le champs (et l’on tombe à moins de 20 litres de fuel par hectare)

Le sol garde sa structure, et nourrit véritablement la plante, dont les « défenses immunitaires » deviennent suffisantes et permettent l’abandon de la majorité des engrais, des pesticides et des anti-fongiques.

Un tel changement de système d’agriculture, donc de culture permettrait ensuite à chaque pays un minimum agricole, de respecter les termes du protocole de Kyoto sur les émissions de gaz carbonique.

(Voir Annexe B#)

Citons aussi la technique du BRF (Bois Raméal Fragmenté) qui permet tout simplement d’abandonner l’arrosage..

Science-Fiction ?

La technique du BRF consiste en la mise en place d’une couche de 2 à 8 centimètres de résidus du broyage de branchages et permet une division par 10 de l’arrosage sur un champ. En France cela limite donc l’arrosage à ce que fournit naturellement la pluie, et en Afrique réduit considérablement la quantité d’eau nécessaire à la production alimentaire, dans des limites qui rendent cette consommation d’eau supportable et possible.

Les exemples sont légions dans le registre de la re-création d’écosystèmes qui permettent ce quasi-miracle pour les profanes, d’avoir une agriculture plus productive, plus saine, et qui nécessite moins de travail.

Les gains de productivité, qui sont véritablement le seul argument de vente de nos Drug-dealers agricoles internationaux, ne sont d’ailleurs finalement même pas au rendez-vous...

Une étude publiée en avril 2008 par l’Université du Kansas conclut que le soja OGM a un rendement de 10% inférieur à celui de son équivalent naturel. Le professeur Barney Gordon, du département de recherche agronomique de cette université, affirme avoir débuté cette étude après avoir reçu des plaintes de cultivateurs.

Sur le terrain ; en effet et notoirement, les champs OGM d’Argentine connaissent une baisse de production de 10% par hectares en moyenne.

Notre agriculture « moderne » résultant de cette Révolution Verte (Annexe C#) d’après Seconde Guerre Mondiale, est en matière de respect de l’environnement, une erreur tragique, une blessure désastreuse dans l’histoire non seulement de l’humanité, mais de toute faune et flore de ce monde.

Envisagé par le profane comme la panacée qui « a permis de nourrir toute la population mondiale dans cette ère d’explosion démographique », elle a dans le même temps scié une branche sur laquelle nous somme tous assis, en imposant un modèle agricole destructif.

Ne bénéficiant véritablement qu’à 5, 6 de ces groupes semenciers et chimiques, ce modèle est donc une superbe arnaque, un exemple typique de délire culturel imposé à travers le monde au fil de l’histoire de la colonisation..

Cette agriculture à l’européenne à déstabilisé des cultures entières qui ont oublié leurs traditions fermières (la société africaine... une des plus structurée au monde avant l’esclavagisme), fait oublier des merveilles de technicité agricole (la fabuleuse « Terra Preta » d’Amérique du sud précolombienne), et contribue aujourd’hui à détruire l’environnement en monopolisant des ressources en eau phénoménale, créant des déserts, et déversant des tonnes de produits chimiques dans les sols et l’eau.

Le point d’orgue, véritable cadenas de la Révolution Verte, est aujourd’hui incontestablement la naissance et l’imposition des OGM dans le monde.

II/ OGM, solution ou solution finale ?

La lutte pour la protection de l’environnement nécessite, selon tous les discours écolos actuels, que l’humanité, dans sa grande majorité cesse de calquer son train de vie sur l’occidental rêvé typique, classe moyenne-supérieure, et que cet hurluberlu là abandonne son propre train de vie et habitudes de sur-consommation et de sur-gaspillage.

Ne serait-il pas plus simple et plus rapide de changer les méthodes de travail des agriculteurs, qui eux ne représentent en effectif que 2% de l’humanité ?

Les conséquences sur l’environnement seraient tangibles en à peine 3 ans, le temps de passer à une agriculture « bio », qui selon la FAO serait largement capable de nourrir l’humanité.

Quel est l’objectif de l’agriculture aujourd’hui, dans le monde ? Nourrir la population croissante, supposée atteindre 9 milliards en 2030 ?

C’est bel et bien un défi, mais en terme d’objectif, est-ce vraiment celui des 5, 6 compagnies semencières qui se partagent les bénéfices de la ventes de grain, et produits chimiques phytosanitaire .

Le sujet est vaste, mais après quelques recherche sur les OGM on se retrouve systématiquement face aux infos relatives aux danger des OGM sur la santé humaine, danger qui concrètement se trouve être assez souvent une baisse de la fertilité, des hommes et des femmes.

Accident industriels ?

Je renvoie là encore à l’indispensable reportage de Canal+ ICI, et à 5 informations mainstream disponibles sous le lien suivant et dont l’intérêt est de mettre en relief une vraie stratégie derrière ces “accidents industriels” :

Réduire la population mondiale, le véritable objectif des corporations semencières mondiale ?

L’idée sonne a priori comme le fin du fin en matière de théorie du complot, et c’est l’hypothèse de F. William Engdahl dans son livre « Semences de destruction », paru en France en 2008, préfacé par José Bové et parrainé par la confédération paysanne.

Un résumé du livre, en moins de 20 pages (pdf) est disponibleICI

A lire de tout urgence, afin de voir plus clair dans le débat sur les OGM. 

(Voir Annexe D#)

A ceux qui n’ont qu’un sourire en coin à l’idée qu’un complot de ce type puisse exister, le fait est qu’ici, il ne s’agit pas vraiment d’un complot, dans la mesure ou toutes les informations à ce sujet n’ont plus rien de secrètes... le Mémo NSSM 200 rédigé par Kissinger en 1974 préconisant une réduction de la population mondiale en utilisant « l ’arme » agro-alimentaire à l’horizon 2000 est un document publique, disponible ICI.

Vous avez peut-être entendu parler, ou plus probablement lu, si vous lisez l’anglais, des articles sur cette nouvelle loi, actuellement en cours de débat parlementaire aux USA, la loi HR875 (au doux nom de Food Safety Modernization Act) qui grosso-modo et très sûrement autorisera le gouvernement des USA à décider de ce qui est cultivable ou non, jusque dans le jardin des citoyens, et démolit toute possibilité de culture bio par des petites fermes. La loi est défendue par une sénatrice démocrate, Rosa DeLauro , elle même mariée à une grosse légume de Monsanto.

Mais c’est aux USA, c’est loin...

Pour vous sentir plus directement concerné, je vous conseille cette courte vidéo, ICI qui nous rapproche considérablement du problème, expliquant le cas de la condamnation de l’association française Kokopelli à 80 000 euros pour avoir simplement vendu des graines de tomates non autorisé sur le marché.

Celles-ci avaient le désavantage de NE PAS être OGM. Ces plans de tomates, naturels, ne sont l’objet d’aucun brevet, et peuvent produire des tomates elles mêmes fertiles.. Les vendre est donc en France un acte criminel puni par la loi.

Ces types de graines (celles simplement produites par la nature) sont aujourd’hui relativement difficiles à trouver dans plusieurs parties du monde.

Cultiver des patates, des tomates ou des carottes dans son jardin, stocker, échanger des plants ou des graines deviendra peu à peu un acte révolutionnaire. Même Barack Obama a déjà eu l’occasion de se faire taper sur les doigts par les industries semencières pour avoir laissé sa femme tenter de médiatiser son petit potager derrière la Maison Blanche. 

Le défi alimentaire du siècle passe sans aucun doute possible par l’appropriation de l’agriculture par tous, la prise de conscience que la production alimentaire peut s’intégrer aux éco-systèmes, plutôt que les détruire et que, comme le préconise Pierre Rabhi, chacun d’entre nous s’empare de ce pouvoir, pour créer des oasis en tout lieu.

C’est bel et bien une forme de résistance que nous serons vraisemblablement tous amenés à considérer sous peu.

[email protected]

ANNEXES

A# En europe est basé le Codex Alimentarius, un organisme fondé en 1963 par la FAO « Food and Agriculture Organization », et l’OMS. Les principaux objectif de cette commission sont la protection de la santé des consommateur , et la surveillance des pratiques commerciales dans les échanges agro-alimentaires internationaux.

Fritz ter Meer fut un des principaux architectes de cette organisation.

Avant cela, le Dr. Fritz ter Meer à été directeur de IG Farben, qui fut directement impliqué dans le développement et la production du gaz Zyklon-B, qui tua des millions de juifs dans les camps d’extermination Nazis. Il dirigea l’usine basée à Auschwitz ou 30000 personnes se tuèrent littéralement à la tâche. Fritz ter Meer fut condamné à 7 ans de prisons suite au procès de Nuremberg mais a été libéré prématurément, grâce à l’intervention, entre autre, de Rockefeller. A sa libération il reprit les rênes de la société Bayer (descendante de IG Farben, et aujourd’hui principale concurrente de Monsanto) jusqu’en 1961.

Un ancien nazi, paternel d’une compagnie chimique et semencière internationale, à l’origine d’une instance de réglementation alimentaire mondiale, on croit rêver.

A vous de vérifier.

B# « Au brésil 50 millions d’hectare sont passés au semis direct ces 10 dernières années. Dans une région comme le Mato Grosso au nord, lorsqu’ils labouraient leurs champs, leur production ne dépassaient pas 14 quintaux en soja et 18 quintaux en riz. Depuis le passage au semis direct en 1992, ils sont passé à à 40 quintaux de moyenne en soja et 70 quintaux de moyenne en riz. » Claude Bourguignon - Extrait de l’émission de France Inter « CO2 mon amour » du 11 mars 2006

C# Lire à ce propos Tommaso Venturini, “Les trous noirs de la Révolution Verte”

D# Je précise que mes recherches m’ont récemment poussé à envoyer un email à quelques personnalités politique et scientifique pour recueillir leur impression sur cette théorie et plus particulièrement sur l’ouvrage « Semences de destruction ».

Seul Noël Mamère m’a répondu pour le moment :

Sa réponse : « Je connais cet ouvrage qui révèle de terribles vérités et nous conforte dans le combat que nous menons contre ces sociétés semencières internationales qui veulent cartelliser l’agriculture mondiale. »

C# OGM et vaccins.

La vision de Shapiro de mêler si étroitement les industries agro-alimentaires, chimiques, semencières et pharmaceutiques, trouve sa réalisation dans ce domaine d’étude si particulier qu’est le « bio-pharming » ou « pharming » contraction de Pharmacy et Farming. Concrètement, on crée des OGM (animales ou végétales) susceptibles de produire des protéines actives. On parle souvent à ce sujet de vaccins « recombinants ».


Le principe est déjà appliqué et éprouvé dans plusieurs vaccins... Ceux disponibles contre l’hépatite B ou le HPV (le Gardasil, de Merk) contiennent des OGM.

L’avantage intéressant à souligner ici est que ce type de vaccin est beaucoup plus rapide à produire industriellement :

Le constat d’une étude de test d’un tel vaccin contre le virus H5N1 le souligne clairement ICI 

- « Cette étude montre que ce vaccin recombinant, produit sur culture cellulaire, peut être préparé plus rapidement que les vaccins traditionnels : 36 jours ont été nécessaires pour développer ce vaccin alors qu’il faut 4 à 6 mois pour préparer le vaccin traditionnel.  »

Pour le moment, contre le virus de la grippe, des OGM sont bel et bien utilisés officiellement en France dans le vaccin ProteqFlu utilisé pour les chevaux.

Quid des vaccins contre la grippe A ?

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Dernière mise à jour de cette rubrique le 20/07/2009