Bellaciao. 19 novembre 2009 par Luis Lera
Universel, OUI ! il se pense universel et pour preuve il croit sincèrement que le 9 novembre 1989. Il était présent lors de la chute du MUR à BERLIN.(sic)
Sarkozy a un modèle l’Amérique. Laissons le rêver. Mais il s’agit de la France nous avons aussi notre mot a dire.
La légitimité du "marche libre" : c’est le vol : par le rapport de force économique imposé. Une frange importante de la société américaine méprise l’égalité (enfin toujours les mêmes) qui pour elle est l’ennemie de la réussite. Pas besoin d’être démocrate pour imaginer ce que peut donner la liberté sans l’égalité ! Quand à la fraternité, "l’éloquence" de son Histoire annule toutes démonstrations. Comme la rhétorique sur le terrorisme sert à masquer la politique du fait accompli : l’interventionnisme terroriste des états. (Les terroristes ce sont toujours les autres).
En effet, Washington s’est doté d’une stratégie économiquo/politique et militaire imparable, la guerre préventive, initiée par notre french doctor avec l’ingérence humanitaire.
Pour les USA, la démocratie reste un spectacle, quand on pense qu’il a fallu attendre les années 60, pour que ne soit plus revendiqué par des organisations racistes et fascisantes, le génocide des indiens. De même pour que s’arrêtent les lynchages publics des noirs et le spectacle que ça suscitait. Néanmoins, l’histoire de la liberté pour Washington reste «"blanche", le péril quant- à lui à gardé la couleur "Rouge". Aussi, pour Washington, tous ceux qui aujourd’hui contredisent leurs projets sont des "peaux rouges". Qu’ils soient blanc ou noir. Le journaliste Mumia abu Jamal 28 années dans le couloir de la mort, jugé à tord coupable de l’assassina d’un policier. Son comité de soutien et ses avocat n’a pas obtenu la révision de son procès. Un état qui pratique la peine de mort ,est irrémédiablement amené a condamner des innocents par abus d’erreurs parce que tuer un seul innocent c’est déjà un crime, j’en arrive alors a la conclusion qu’il est un état criminel.
On n’arrête pas le progrès : Les gouvernements soumis au rêve libéral américain déploient une énergie extraordinaire, privatisant à tour de bras tout ce qui leurs semble source de profits .Délocalisant pour engraisser actionnaires et banquiers .Supprimant ainsi par pans entiers de centaines de milliers d’emplois, une frange importante de la population est alors en attente d’un premier emploi. Leurs aînés, eux sont « remerciés » sans considération après des années de services rendus. Se retrouvant du même coup précarisés avec des ressources bien trop faibles pour se satisfaire de leur vie.
Comme on s’y attendait déjà, la manne libérale n’est pas au rendez-vous de la citoyenneté républicaine, les programmes de campagne étant pipés d’avance. Ce que l’ont doit reconnaître à Sarkozy c’est que ses mensonges sont toujours accompagnés de promesses et vis vers çà Les élections ont servi de mystification de la promesse. Le consensus populiste à droite, c’est avant tout un chèque en blanc pour permettre à un apprenti sorcier de jouer les prolongations dans la grande entreprise de démolition sociale.
Son discours de Toulon restera la caricature de sa caricature usant du mensonge,de la façon la plus décomplexé qu’ils soit donnée à un président de la 5éme république.
Le 25 septembre 2008 Sarkozy dans son discours de Toulon (qui restera dans les annales )appelait à "moraliser" le capitalisme financier ; et déclarait
« IL faudra imposer aux banques de financer le développement économique plutôt que la spéculation. »
et suit avec une approche de la plus value Marxiste inattendue :
« Ne pas donner tous les bénéfices aux dirigeants et aux actionnaires en destiner une part plus grande à ceux qui par leur travail ont crée la richesse,redonner du pouvoir d’achat aux travailleurs ».
une phrase en encense une autre qui résonne de façon plus Léniniste, sur la crise :
« les responsabilités doivent être recherchés et les responsables de ce naufrage doivent être sanctionnés »
et c’est au tour du logement : façon ?
« Je veux que d’ici à deux ans plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid »
paroles pieuses mais creuse le discours se poursuit sur une dizaine d’autres questions, réponse sur le même registre à coté de ce qu’il fera réellement ce type est incroyable.
On se demande à quoi il carbure, mégalo ou plaisantin il joue a fond la carte du bluff politique parce qu’il sait que la vérité le desservirait encore d’avantage qu’un mensonge qui n’est qu’un vœux pieux sans « conséquence ».
Aucun commentaire