Les Ormus: un nouvel état de la matière avec d’immenses perspectives pour l’agriculture, la santé et l’environnement.

Nous les Dieux. Le 31 Décembre 2010 (Source : Nexus)

 

Cet article introduit une découverte récente mais peu connue qui pourrait être d’une importance capitale pour le futur de notre planète. Mais les enjeux scientifiques sont élevés : si ces assertions sont pleinement démontrées, nous serons obligés de prendre en considération un groupe de substances – probablement des éléments chimiques – dont l’existence n’a pas été jusqu’à aujourd’hui même suspectée. C’est pour cette raison d’ailleurs que l’acronyme ORME (Ormus) a été inventé. La plupart des idées très controversées sur ce qu’ils sont vraiment, et leur extraordinaire chimie et physique sont exposés ci-dessous. Mais avant tout, l’apport pratique de cette découverte consiste en l’observation empirique des effets bénéfiques de ces éléments sur la vie animale et végétale. Malgré le fait que ces éléments soient déjà présents dans toute matière vivante et dans tous les sols et tous les types d’eau, leur effet sur la pousse des plantes (voir images) n’en est pas moins phénoménal. Des bénéfices remarquables ont aussi pu être observés pour la santé humaine et animale.

 

Les éléments Ormus, une manne pour l’humanité
(article du Dr Roger Taylor, Ph D, publié dans le magazine NEXUS, n°50 de mai-juin 2007)
(traduction : André Dufour et Christèle Guinot)

 

Alchimiste

Ils sont partout, dans l’eau, l’air, la terre, depuis la nuit des temps, mais ils n’ont été mis en évidence scientifiquement que dans les années 70, par hasard… Les Ormus sont des éléments en métal précieux témoignant d’un quatrième état de la matière (ni solide, ni liquide, ni gazeux), un état-M jusque-là inconnu de la science et qui leur confère des propriétés physiques extraordinaires : invisibilité, téléportation, supraconductivité, capacité à infléchir l’espace-temps… Sur le plan biologique, les Ormus constituent des minéraux nutritifs très intéressants pour l’agriculture et la santé, y compris dans le traitement du cancer. Des caractéristiques qui ne sont pas sans rappeler « l’or blanc » des alchimistes, la pierre philosophale ou la manne biblique…


L'histoire commence en Arizona à la fin des années 70 avec un riche planteur de coton nommé David Hudson. Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder des propriétés rares et renfermer des métaux précieux, Hudson entreprend un beau jour d’en commander l’analyse quantitative complète. Stupéfaits, les laborantins constatent qu’une partie des éléments défie toute analyse : on n’y décèle aucune caractéristique métallique, aucune réaction chimique et aucune signature spectroscopique ! L’un des chercheurs propose alors de prolonger l’ana lyse du spectre. Ce n’est qu’à ce moment-là que commencent à apparaître les caractéristiques spectrales, et que se révèle, à la surprise générale, la présence de métaux précieux ! Disposant de moyens financiers considérables, Hudson décide de pousser plus loin les investigations, et engage des chimistes pour résoudre cette énigme. Les résultats dé taillés figurent dans le brevet qu’il a déposé. Il donne ensuite de nombreuses conférences publiques, pourtant, pas un seul article ne paraît dans la presse scientifique. Pour ma part, j’ai découvert ce phénomène en visionnant plus de neuf heures de conférences de Hudson en vidéo.

Les allégations de Hudson sont très audacieuses, et espérant leur trouver une validation théorique, j’ai tardé à écrire à leur sujet. Bien qu’aucune recherche universitaire officielle ne semble être en cours, un groupe informel de scientifiques et de profanes planche sur la question depuis quelques années. Sans aucun financement ni soutien d’un laboratoire officiel, et sans le moindre lien avec Hudson, ce groupe a réussi à reproduire certains de ses résultats. Leurs travaux, de même que ceux d’Hudson, sont présentés dans les articles que Barry Carter, grand spécialiste des éléments ORMUS, publie sur un site Web très complet et très instructif (voir également à ce sujet l'encadré à la suite de cet article intitulé : "Les scientifiques sur les pas des alchimistes"). Il existe aussi plusieurs forums sur Internet, dont l’un, animé par des passionnés de sciences, aborde les divers aspects chimiques et physiques de ces matériaux ainsi que les méthodes d’extraction et d’analyse.

 

Le rhodium, l’iridium, l’or, le platine, le palladium et le cuivre peuvent être isolés à l’état solide bien que non métallique sous forme d’une poudre grise ou blanche aux propriétés extraordinaires.

Des métaux monoatomiques

Avec ces éléments, nous entrons dans une ère nouvelle et très complexe où nous avons tout à apprendre. On peut considérer qu’un nouveau chapitre de la physique, de la chimie et de la biologie est en train de s’ouvrir. Au vu des travaux d’Hudson et de ce groupe indépendant, il semble désormais incontestable qu’un certain nombre de métaux précieux (et d’autres moins précieux), parmi lesquels le rhodium, l’iridium, l’or, le platine, le palladium et le cuivre, peuvent être isolés à l’état solide bien que non métallique, sous forme d’une poudre grise ou blanche aux propriétés extraordinaires.

Hudson baptise d’abord ces éléments ORME, Orbitally Re-arranged Monatomic Elements (Éléments Monoatomiques à Orbites Réorganisés).  À ce moment-là, il croit que les électrons des ORME sont réorganisés de telle sorte qu’ils ne se prêtent plus aux réactions chimiques. Selon lui, les liaisons qui assurent normalement la cohésion des atomes de métaux à l’état solide sont manquantes ; ces métaux seraient donc monoatomiques. Des recherches ultérieures indiquent la présence d’éléments diatomiques et de liaisons instables avec d’autres éléments, en particulier les métaux alcalins. Les éléments ORME s’appellent désormais Ormus. On dit également qu’ils sont à l’état-M.

Le rhodium, l’iridium, l’or, le platine, le palladium et le cuivre peuvent être isolés à l’état solide bien que non métallique sous forme d’une poudre grise ou blanche aux propriétés extraordinaires.

Supraconducteurs ?

Selon Hudson, les électrons ainsi réorganisés forme raient des paires de Cooper (co-auteur de la théorie de la supraconductivité), susceptibles de devenir supraconductrices à des températures normales. En guise de démonstration, Barry Carter a produit une petite vidéo où l’on voit la fameuse poudre grise vive ment repoussée à l’approche d’un aimant. On peut cependant objecter que ce phénomène de « grains sauteurs » n’est pas in se une preuve de supraconductivité… Pour explorer cette controverse, il suffit de se reporter à quelques publications tout public recommandées par Hudson lui-même. Il y est question d’un état dans lequel certains atomes de métaux lourds acquièrent un « spin élevé » par allongement de leur noyau ; mais cela n’a pas encore été réalisé à une échelle significative.

[le spin est l’unité caractéristique de la transformation d’un objet sous l’action de la rotation dans l’espace. Ex : une étoile à cinq branches reprend son aspect initial après avoir pivoté sur une seule branche ; on dit que son spin est de 5. Une figure à laquelle il faut un tour complet a un spin 1]

Par la suite, Hudson commande les analyses de différents matériaux et confirme la présence d’éléments Ormus dans la plupart des échantillons, particulièrement dans ceux issus de sols volcaniques. D’autres chercheurs déclarent en avoir décelé dans la plupart des eaux naturelles, les plus fortes concentrations résidant dans l’eau de mer, surtout la Mer Morte. L’un des chercheurs prétend en avoir trouvé dans l’air (il n’est pas surprenant qu’à l’état monoatomique, même un élément lourd puisse se comporter comme un gaz rare).

En procédant à des analyses sur des végétaux, les chimistes de Hudson constatent un fort taux d’Ormus dans les plantes poussant en sol volcanique, particulièrement l’aloe vera (aloès officinal). Un taux remarquable de 5 % de matière sèche est également découvert dans le cerveau de veau et de cochon. Ces analyses ne sont pas faciles à réaliser, car elles exigent la reconversion du contenu Ormus sous sa forme métallique. Cela requiert la procédure de spectroscopie de « longue durée » utilisée par Hudson et effectuer ces préparations en grandes quantités est un processus fastidieux qui reste à perfectionner… Les installations de spectroscopie ne sont accessibles qu’à une minorité de chercheurs indépendants et je n’en connais pas qui puissent les utiliser officiellement. Malheureusement, pour diverses raisons (financières ou légales, dit-on), Hudson lui-même semble avoir abandonné ces recherches.

Des flashs lumineux et silencieux

Il reste pourtant beaucoup à faire pour élucider, en termes de physique et de chimie, les extraordinaires phénomènes observés avec les éléments Ormus. Par exemple, Hudson a vu disparaître dans un vif éclat de lumière, mais sans le moindre bruit ni onde de choc, une préparation aqueuse de rhodium Ormus préalablement chauffée au soleil sur du papier-filtre. Plus étrange encore, en soumettant plusieurs fois de l’iridium Ormus à des chauds et froids intenses, il s’est aperçu que le poids de la matière oscillait brutalement à chaque cycle, au point de disparaître complètement puis de revenir à sa valeur initiale. Cet effet est prévu dans la théorie de l’hyper dimension du physicien théoricien finnois Matti Pitkänen.

L’observation du flash lumineux silencieux a été confirmée par des chercheurs indépendants et les variations de poids par l’un d’entre eux. Plusieurs ont observé un autre phénomène étrange : des gout tes de liquide contenant un concentré Ormus se forment à l’extérieur de récipients fermés, particulièrement sous l’effet de champs magnétiques. Ceci porte à croire que des atomes Ormus passent à travers les parois par des tunnels quantiques en transportant un peu d’eau. Autre observation inexpliquée : certaines préparations Ormus en solutions aqueuses développent des charges électriques statiques. Elles peu vent être déchargées avec production d’une étincelle audible, après quoi la charge se reforme et peut à nouveau être déchargée, et cela indéfiniment.

 

Biologie de l’Ormus

La biologie de ces matériaux s’inscrit dans l’approche quantique de la vie. Sous cet angle, les propriétés holistiques de la vie ne sont explicables que par la cohérence quantique ; c’est-à-dire que l’activité apparemment aléatoire (selon la thermodynamique classique) des molécules biologiques est en fait régie par les mêmes principes quantiques que ceux qui gouvernent le fonctionnement d’un laser. Ce regard radicalement novateur sur la biologie a été initié par le Dr Mae-Wan Ho. Des travaux récents ont ouvert des perspectives prometteuses en biologie quantique. Alors qu’une petite partie de l’ADN fonctionne par codage des protéines, la majeure partie (qualifiée d’ADN rebut) fonctionne indépendamment de la chimie pour informer le champ « quantique » de l’organisme. Par ailleurs, un certain nombre de publications sur la supraconductivité dans les organismes vivants viendraient confirmer les spéculations de Hudson quant à l’action des Ormus sur l’ADN ; les uns pouvant même réparer les lésions de l’autre.

Hudson prévoyait un grand potentiel de développement de ces matériaux dans l’industrie, d’autant plus que, d’après ses analyses, ils existent en bien plus grand nombre que sous forme métallique. Un jour, son propre oncle, qui s’intéresse à l’alchimie, suggère un lien avec l’« or blanc » décrit par certains alchimistes, une poudre aux propriétés curatives connues pour prolonger la vie. Intrigué, Hudson administre une préparation à base d’Ormus à un chien atteint de cancer et de piroplasmose. L’animal guérit et des volontaires humains se prêtent à l’expérience, obtenant de bons résultats. Hudson en distribue quelques échantillons à des médecins qui les prescrivent à des patients en phase terminale. Les guérisons remarquables constatées illustreront, graphiques à l’appui, les conférences données par la suite par Hudson, qui adresse également des échantillons à plusieurs laboratoires, dont Merck & Co. et à l’Institut national du cancer. Ce dernier l’appliquera à des cultures de cellules cancéreuses et conclura simplement à son innocuité.


Des guérisons de cancers

Depuis lors, plusieurs producteurs indépendants fabriquent et vendent des concentrés d’Ormus de provenances diverses dont l’eau de mer, l’eau de sources profondes, du sel extrait de dépôts minéraux et des plantes médicinales telles que l’aloe vera. Aujourd’hui, des milliers de personnes utilisent probablement ces produits. On trouve, sur Internet, des témoignages de guérisons (dont des cancers) obtenues grâce aux Ormus. Mais tant qu’il n’y aura pas eu d’essais cliniques ni de relevés systématiques de résultats, il faut se garder d’accorder une caution médicale à un tel produit. Ne citons ici que quelques-uns des résultats obtenus par les moyens scientifiques reconnus : on a constaté, grâce à des analyses de sang au microscope à fond noir, que dans les heures suivant la prise d’Ormus, les globules rouges se détachent mieux, présentent une forme plus arrondie, et que le sérum contient moins de débris.

 

Des rapports d’électroencéphalogramme témoignent d’un meilleur équilibre entre les deux hémisphères cérébraux. La bioélectrographie GDV (visualisation de décharge gazeuse), plus connue sous le nom de photographie Kirlian, et développée par le Dr Konstantin Korotkov,  offre également des résultats intéressants que j’ai moi-même constaté : pendant environ un an, j’ai pris un produit Ormus de marque et j’ai bénéficié d’un regain d’énergie et d’une sensation générale de bien-être. Un jour, j’ai décidé de tester ce produit à l’aide de l’équipement GVD de Korotkov. Les travaux approfondis du Dr Korotkov sur le GVD indiquent clairement que de tous les paramètres analysables de l’image, la superficie est la plus parlante pour ce qui concerne l’état de santé général.

Tout d’abord,  j’ai cessé de prendre de l’Ormus pendant deux semaines, ensuite j’ai noté une mesure initiale de contrôle avec le GVD et, immédiatement après, j’ai pris une dose d’Ormus six fois plus forte que la dose quotidienne recommandée, tout en procédant à des lectures GVD à intervalles réguliers. La superficie de l’image est montée jusqu’à 1,5 fois la référence de contrôle pendant quatre heures et a ensuite décliné lentement pendant les douze heures suivantes.

Pour les lecteurs qui souhaiteraient fabriquer eux-mêmes certains de ces produits, voyez l’exposé des méthodes sur le site Internet de Barry Carter. La procédure la plus simple consiste à élever le pH d’une solution de sel marin entre 10,6 et 10,78. Le précipité qui en résulte, principalement composé d’hydroxydes de magnésium et de calcium, contient les éléments Ormus. Il ne reste plus ensuite qu’à éliminer la plus grande partie du sel.

 

Des noix comme des mandarines

S’il est difficile d’obtenir des données scientifiques sur la santé humaine, celles issues des expériences sur les plantes sont incontestables et extraordinaires. Plusieurs sites Internet sont là pour en témoigner.

En agriculture, la préparation la plus courante, mais aussi la plus simple et la moins chère, consiste en un concentré ordinaire obtenu à partir de l’eau de mer. L’intérêt des produits de la mer, en particulier celui des algues, est connu en agriculture depuis bien plus longtemps que l’Ormus. Le Dr Maynard Murray a rassemblé de nombreuses données sur la santé d’animaux nourris de grains cultivés sur des terres traitées à l’eau de mer. Une expérience a été conduite sur une race de souris dont 90 % sont normalement et spontanément atteintes de cancer du sein. Parmi celles nourries au grain traité, 55 % seulement ont développé un cancer, et pour la deuxième génération, ce chiffre est descendu à 2 % ! Évidemment, la terre arrosée à l’eau de mer finit par être trop salée, ce qui menace sa fertilité. Mais il faut savoir que le processus de concentration de l’Ormus multiplie par environ 80 sa proportion en sel. Le Dr Murray fait observer que les populations humaines présentant de faibles taux de tumeurs malignes se situent généralement dans des régions où il y a « très peu d’évacuation d’eau à la mer », de sorte que les éléments vitaux contenus dans les terres alluvionnaires demeurent sur place.

Selon les cultures, dix à cinquante litres de concentré par hectare suffisent. Les résultats obtenus de cette façon dépassent largement ceux de l’eau de mer, comme en témoignent les photos (ci-dessous). On a constaté qu’un noyer traité pendant plusieurs années avait atteint deux fois la taille des autres et produit six fois plus de noix ; quant aux noix elles-mêmes, elles sont grosses comme des mandarines !

 

 

La récolte du noyer de droite, traité pendant plusieurs annéesavec de l’Ormus, est six fois plus importante que celle du noyer de gauche n’ayant pas bénéficié des mêmes soins !!!

 

Un prunier a produit, dès la première année de traitement, des fruits deux fois plus lourds que ceux de l’arbre témoin ; et après deux ans, ce poids a été multiplié par cinq ! On voit, sur une photo, un agriculteur juché sur un escabeau pour atteindre ses plants de maïs de 3,60 m de haut !

Citons également ces oranges de la taille de melons cantaloups… On sait également que les plantes traitées aux Ormus sont non seulement plus productives, mais qu’elles arrivent plus tôt à maturité, nécessitent moins d’engrais et résistent mieux aux parasites. En plus, les fruits ont meilleur goût ! J’ai moi-même expérimenté l’Ormus sur les pommes de terre. Sur quatre rangs de deux espèces différentes, deux ont été traités et les deux autres ont simplement reçu l’équivalent en eau. Résultat : 14 kg pour les témoins, 26 kg pour les plants traités. J’ai aussi obtenu des carottes de plus de 450 grammes…

On a régulièrement observé que les productions augmentent encore la deuxième année et les suivantes, après le traitement. Cela est probablement dû à ce que l’Ormus enrichit la teneur du sol en mycorhizes, champignons symbiotiques nécessaires à la croissance des plantes et dont on devrait reconnaître enfin l’importance, car ils sont gravement menacés par les excès d’engrais chimiques et d’herbicides.

Bien entendu, il n’existe pas de preuves que ces résultats, si remarquables soient-ils, sont dus à l’Ormus. Les détracteurs pourraient arguer qu’ils résultent d’un apport supplémentaire de minéraux conventionnels. Une approche scientifique plus rigoureuse reste à mener.


 

C'est une image de quelques noix avec une boule de tennis et une boule de golf pour la comparaison de taille. La noix centrale a été cultivée dans le sol qui a été complété avec des matériaux Ormus extraits de l'eau de mer. La noix sur le gauche inférieur est une noix ordinaire qui a été cultivée dans le même lieu sur un arbre différent de la même plantation. La noix dans la droite supérieure est toujours dans sa bâche externe. Noter qu'elle est légèrement plus grande que la boule de tennis réglementaire.

La fin des famines et de la désertification

Cela dit, il n’est pas nécessaire d’attendre la science pour tirer parti de cette découverte. La croissance démographique est inexorable et, en même temps, la surface de sol arable est limitée et déjà en grande partie cultivée. S’il était possible ne fut-ce que de doubler la production grâce à cette préparation bon marché à partir de l’eau de mer, la menace de famine ferait place à l’abondance. Et même sans l’utilisation de l’Ormus comme supplément alimentaire direct, la santé des hommes serait améliorée. En outre, étant donné qu’on ne peut breveter l’eau de mer, on voit mal les multinationales mettre le grappin sur ce marché et le rendre inaccessible aux fermiers du Tiers-Monde.

Comment se fait-il que les plantes, les animaux et les humains en soient arrivés à manquer de ces éléments ? Leur forte concentration dans l’eau de mer laisse supposer qu’au fil du temps, ils y ont été entraînés par le ruissellement. Cela pourrait expliquer la désertification croissante d’une bonne partie des surfaces terrestres. En plus, le déclin de la végétation contribue à l’augmentation du taux d’oxyde de carbone et donc au réchauffement global. Cela pourrait être endigué en traitant à l’Ormus de vastes étendues de terrain, par exemple par des arrosages aériens, surtout sur les forêts. En outre, pour remplacer les combustibles fossiles, on pourrait augmenter, sur des surfaces plus réduites, la croissance des plantes productrices de biocarburants.

Il reste peu de temps pour prendre une série de mesures susceptibles d’éviter une catastrophe environnementale. Parmi celles-ci, les produits issus de l’eau de mer pourraient jouer un rôle très important. C’est pourquoi j’engage tous mes lecteurs à répandre autant que possible l’information au sujet de l’Ormus.


 


À propos de l’auteur

Roger Taylor, PhD, BVSc, titulaire d’un doctorat en immunologie, a fondé le Groupe de recherche en immunologie du Medical Research Council du Royaume-Uni, à l’université de Bristol. Il y dirige des travaux consacrés principalement à la tolérance immunologique. Il a consacré les dix-huit dernières années à étudier, à titre indépendant, les bases scientifiques des énergies subtiles.
Le Dr Taylor édite la revue Caduceus.
Contact : [email protected].


Notes et liens fonctionnels de l'article original



 

Les scientifiques sur les pas des alchimistes

 

En fait, la découverte des ORMUS ne date pas de ces dernières décennies. Selon Barry Carter, qui se passionne pour les ORMUS depuis 1989 et sillonne le monde pour les faire connaître, on en retrouve la trace jusque chez les Mésopotamiens et les Égyptiens.

Ce qui est vraiment étonnant au sujet de cette énigmatique poudre blanche d’or, à spin élevé, et des métaux platinoïdes, c’est que leur découverte n’est en fait pas récente. Les anciens Mésopotamiens l’appelaient shem-anna et les Égyptiens la désignaient par mfkzt (la traduction des hiéroglyphes omet les voyelles), tandis que les Alexandrins la vénéraient comme un don du Paradis, et plus tard des chimistes, tel Nicolas Flamel, l’appelèrent la Pierre philosophale. À toutes les époques de l’histoire, la « poudre de projection » sacrée était réputée posséder d’extraordinaires pouvoirs de lévitation, de transmutation et de téléportation. On disait qu’elle produisait une lumière brillante et des rayons mortels, tout en étant la clef d’une longévité physique active. Dans la mythologie grecque, la quête de cette substance était au centre de la légende de la Toison d’Or, tandis qu’en termes bibliques, c’était le domaine mystique de l’Arche d’Alliance, le coffre en or que Moïse ramena du Sinaï et qui fut ensuite conservé au temple de Jérusalem.

Le platine rend l’ADN supraconducteur
Dans le monde actuel, l’Institut des Études Avancées (Austin, Texas) a décrit cette substance comme « matière exotique », et sa supraconductivité (une de ses caractéristiques principales) a été déclarée par le Center for Advanced Studies (université de l’Illinois) comme étant « la propriété physique la plus remarquable de l’univers ».
Dans un article du numéro de mai 1995 du Scientific American, les effets du métal ruthénium, du groupe platine, étaient abordés en relation avec l’ADN humain. On y observait que lorsqu’un unique atome de ruthénium était placé à chaque extrémité d’un brin d’ADN court, ce brin devenait 10.000 fois plus conducteur. Il devenait en fait un supraconducteur. Depuis quelque temps, les chimistes se doutaient que le double hélicoïde pourrait créer, dans l’axe de la molécule, un chemin hautement conducteur, et nous en avions ici la confirmation. Pareillement, la Platinum Metals Review a régulièrement publié des articles concernant l’utilisation du platine, de l’iridium et du ruthénium dans le traitement des cancers. Lorsque l’état d’un ADN est modifié (ce qui est le cas dans un cancer), l’application d’un composé de platine entrera en résonance avec la cellule déformée, provoquant la détente de l’ADN et sa rectification. Un tel traitement n’implique aucune chirurgie ; il ne détruit pas les tissus environnants par des radiations et n’agresse pas le système immunitaire, comme le font la radiothérapie et la chimiothérapie. La profession médicale s’intéressa au haut spin lorsque la division de recherche biomédicale de la compagnie pharmaceutique Bristol-Myers Squibb annonça que les atomes de ruthénium interféraient avec l’ADN, corrigeant la malformation de cellules cancéreuses. (L’or et les métaux monoatomiques du groupe platine sont en fait des « atomes furtifs », et il est à présent établi que les cellules du corps communiquent entre elles par l’intermédiaire des atomes furtifs à travers un système d’ondes lumineuses). Ce que la nouvelle science découvre, c’est que le ruthénium monoatomique entre en résonance avec l’ADN, démonte l’hélicoïde court et le reconstruit correctement ; exactement comme on démonte et reconstruit un bâtiment en mauvais état. On sait que l’iridium et le rhodium ont tous deux des qualités anti-vieillissement, tandis que les composés de ruthénium et de platine interagissent avec l’ADN dans le corps cellulaire.

Conscience élevée, corps de lumière
On sait également que, dans leur état monoatomique à haut spin, l’or et le platine peuvent activer le système glandulaire endocrinien au point de porter la conscience, la perception et les aptitudes à des niveaux extraordinaires.
À cet égard, on estime que la poudre d’or à haut spin a un net effet sur la glande pinéale, augmentant la production de mélatonine.
Pareillement, la poudre d’iridium monoatomique a un effet similaire sur la production de sérotonine de la glande pituitaire, et réactiverait « l’ADN-rebut » ainsi que les zones du cerveau imparfaitement exploitées, ou pas du tout. Nonobstant toute la recherche actuelle coûteuse et étendue dans ce domaine, les secrets des pierres à feu de haut spin étaient donc connus de nos ancêtres il y a des milliers d’années. Ils connaissaient l’existence des supraconducteurs propres au corps humain : éléments de la conscience individuelle qu’ils appelaient le « corps de lumière » (le ka). Ils savaient que le corps physique et le corps de lumière devaient être nourris pour augmenter la production hormonale, et l’ultime aliment, la poudre magique de projection, était fabriquée par les prêtres Maîtres artisans des temples (les Gardiens de la Maison de l’Or) dans le but précis de déifier les rois... Elle fait sa réapparition aujourd’hui en tant que nouvelle substance primordiale dans des domaines allant du traitement du cancer à l’avion furtif. Elle pourra même fournir la « matière exotique » essentielle au voyage spatial vers des dimensions d’espace-temps inaccessibles jusqu’ici.


Commentaires (3)

3. Laurie - Le 25/01/2011 à 20:38

C'est quoi ça?une nouvelle secte?des OGM?des forcenés de l'extraction?u gourou en mal de clientèle?

2. dupety Jacky - Le 24/01/2011 à 19:41

J'ai lu quelques mots comme "avion furtif" plantes productrices de bio-carburants??? et je ne relève pas tous les détails.
Il est bien l'ordre établi, laissons tout ça dans les mains des mêmes (techno-sciences et autres délires), ça colle pas du tout cette histoire....allez tout va bien !! dormez en paix

1. Sylvie - Le 24/01/2011 à 17:00

Merci pour cette merveilleuse nouvelle !...
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Dernière mise à jour de cette page le 20/01/2011

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