Agoravox. 24 octobre 2009 par Baptiste L
Le ministère de la Santé a lancé le 20 octobre la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) dans les établissements de soins français. Trois jours après, des plaintes sont déposées pour « tentative d’administration de substances (...) de nature à entrainer la mort ». A voir, d’autres plaintes à Paris, Pau, Nantes, ...
Partout dans le monde, les vaccinations avaient elles aussi commencé. Aujourd’hui, en Suède, on parle de morts suite à la vaccination, mais aussi de plus de 190 plaintes.
Des conséquences qui avaient fait toute la polémique, à savoir si "les avantages d’une vaccination l’emportent sur les risques éventuels" ?
Le Parisien nous annonce le 23 octobre qu’en Isère, la vaccination contre le H1N1 fait grand bruit puisque des habitants ont porté plainte pour « tentative d’administration de substances (...) de nature à entrainer la mort » :
"Neuf habitants de l’Isère ont déposé plainte contre X vendredi à Grenoble, dénonçant la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 comme « une véritable tentative d’empoisonnement » de la population, une première en France qui sera suivie d’autres plaintes, a annoncé leur avocat, Me Jean-Pierre Joseph.
Cette plainte avec constitution de partie civile, également déposée pour « tentative d’administration de substances (...) de nature à entraîner la mort », a été remise au doyen des juges d’instruction du tribunal de grande instance de Grenoble. Ce dépôt de plainte a été confirmé de source judiciaire, selon l’AFP."
Effectivement, de nombreuses personnes pourraient voir d’importants effets secondaires suite à la vaccination. Je ne trouve pas que les "main-stream" l’ont suffisamment répété mais clairement, on nous avait prévenu. Comme j’avais pu l’entendre lors de la conférence à Nice-Matin, ce même article confirme que les risques éventuels ne font pas le poids face aux avantages d’une vaccination :
"Pour les autorités de santé, les vaccins H1N1 arrivant sur le marché sont des produits nouveaux pouvant provoquer des effets secondaires inattendus, qui devront faire l’objet d’une surveillance, mais elles estiment que les avantages d’une vaccination l’emportent sur les risques éventuels." Risques évoqués lors de la conférence à Nice-Matin.
Ce qui est plus dérangeant c’est qu’ils ne sont pas capables de dire quels sont ces risques éventuels, vu que ces nouveaux produits peuvent "provoquer des effets secondaires inattendus". Des plaintes en Isère, à Paris, Pau, Nantes, ... ? nous dit Me Joseph.
Selon Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au Barreau de Grenoble, d’autres plaintes similaires seront déposées prochainement en Isère, ainsi qu’à Paris, Pau et Nantes.
L’un de ses articles sur son blog est particulièrement "violent" car dès les premières lignes, Me Joseph pose des questions incisives sur des faits historiques :
"Pourquoi nous a-t-on caché le fait que dans les mois qui ont suivi le lancement du 1er vaccin anti-polio en France en 1956, le nombre de cas de polio s’est multiplié par 6 ?
Pourquoi nous avait-on caché les mêmes multiplications de cas, lors des vaccinations de masse contre la variole aux Philippines en 1918, contre la Diphtérie en France en 1925, et plus récemment, contre la méningite en Afrique ?"
Un article conclu par une grande liste de titres d’ouvrages publiés depuis 30 ans sur l’inefficacité et la dangerosité des vaccins :
190 plaintes de personnes souffrant d’effets secondaires
Un article diffusé sur le site d’information américain prisonplantet fait état de pas moins de 190 plaintes et des décès.
Encore une victime du vaccin de chez GSK, en Suède, l’un des premiers pays d’Europe à avoir lancée la vaccination le 12 octobre. Un homme d’une cinquantaine d’année est mort d’une crise cardiaque, 12 heures après avoir été vacciné. Une autre femme de 65 ans, retrouvée morte chez elle, deux jours après avoir... reçu le vaccin. Et les autorités ont reçu 190 plaintes de personnes qui souffraient d’effets secondaire tels que : douleurs, migraines, fièvre, fatigue, maux d’estomac, mal dans le bras.
La polémique : la vaccination vaut-elle le coup ?
En fin de compte, toute la polémique réside dans cette question.
Combien y aura-t-il de morts ou de personnes souffrants d’effets secondaires à la vaccination ? Combien décèderont de la grippe A ? et combien seraient mortes du virus H1N1 s’il n’y avait pas eu la vaccination ?
Pour la première question, nous venons d’en brosser une vision et les prochains jours, mois et années nous permettra d’y répondre. Pour la seconde question, nous allons aussi pouvoir le savoir très rapidement. La seule zone d’ombre que l’on aura sera la réponse à la troisième question : nous ne le serons jamais.
Alors arrêtons nous sur ce qui s’est passé autour de cette polémique. Le problème étant qu’une poignée de personnes au pouvoir ont décidé que la vaccination valait le coup, mais l’opposition est énorme et n’a été que très peu prise en compte (un peu en Belgique par exemple). Les scientifiques ne sont même pas d’accord entres eux, les médecins et les infirmiers ne sont largement pas convaincu par la vaccination et la majorité déclaraient il n’y a pas si longtemps ne pas vouloir se vacciner.
Rappelons nous un exemple parmi tant d’autres, mais pas des moindres, dans "le magazine de la santé" le Dr Rony Brauman donne son analyse sur la vaccination contre la grippe A : "En tant que médecin, je sais que l’efficacité de ce vaccin est très limité" et "je ne me vaccinerai pas et je n’encourage pas mes enfants qui sont majeurs". Avec des phrases répétées par des nombreux médecins, scientifiques et vaccinologues aussi catégoriques, les citoyens ont matière à douter de l’intérêt de se vacciner.
Comme tout n’est que business, en plus de ces divergences d’opinions de spécialistes sur l’intérêt et les risques de la vaccination contre la grippe A, je rappelle ce qu’engendre cette "pandémie" avec l’article que j’avais fait sur l’état des lieux de nos libertés et pointe du doigt l’énorme business que cela génère auprès de l’industrie pharmaceutique.
En attendant, la machine est lancée, de nombreuses personnes vont se vacciner... en plus d’avoir creusé le trou de la sécu (pour la France) et fait tourner l’industrie pharmaceutique, jour après jour nous allons savoir si les pouvoirs en place ont pris la bonne décision en dépit des mises en gardes qui ont été faites.
Comptons le nombre de vaccinés, le nombre de plaintes, de morts suite à une vaccination et de mort de la grippe A : à vos calculettes.
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1. fredg Le 05/11/2009 à 12:57